Avec son manga, Eiichirō Oda a créé l'une des histoires fantastiques les plus populaires de la littérature. Avec plus de 500 millions d'exemplaires écoulés dans le monde entier, One Piece s'est imposé comme une grande référence. Découvrez 7 choses sur l'auteur de cette œuvre.
Il a trouvé l'amour grâce à One Piece
Eiichirō Oda a fait la connaissance sa femme grâce à One Piece. En effet, l'ancienne actrice japonaise Chiaki Inaba a rencontré le mangaka lors du Jump Festa de 2002. Elle avait un cosplay de Nami et a réussi à attirer son attention. Ils se sont finalement mariés en 2004 et ont deux enfants.
Sa bonne action envers sa ville natale
En 2016, la ville natale de l'auteur a été frappée par un terrible séisme. Le Japonais a alors fait un don de 800 millions de yens (environ 6,48 millions d'euros) à la mairie de Kumamoto. Deux ans plus tard, il a été nommé citoyen d'honneur par la préfecture de Kumamoto.
Dans le classement des personnages préférés du manga
Bien qu'il ne soit pas dans le manga, Eiichirō Oda a été positionné à la 50e position dans le classement des personnalités de One Piece, à égalité avec Marguerite, la guerrière d'Amazon Lily.
Son fruit du démon préféré
S'il devait avoir un fruit du démon, il choisirait celui de Robin, le Hana Hana no Mi, pour écrire son manga 20 fois plus vite.
Ses mangas favoris
Sa série préférée dans le Shonen Jump est Dragon Ball. Mais il est également très fan de Mitsutoshi Shimabukuro et de Masashi Kishimoto, les créateurs de Toriko et de Naruto.
Le pirate qui l'a le plus inspiré
Le pirate réel préféré du mangaka est Edward Teach, dit "Barbe Noire". Il le trouve fascinant et terrifiant. C'est notamment lui qui a inspiré les personnages d'Edward Newgate dit "Barbe Blanche", de Marshall D. Teach, dit "Barbe Noire" et enfin de Thatch.
Ses personnages préférés
Dans un SBS de One Piece, il a affirmé que Baggy le Clown était son méchant préféré dans le manga. Tandis que le personnage qu'il affectionne le plus est Gaimon, l'homme coincé dans un coffre sur l'Île des Animaux Rares.
