Un morceau de choix pour commencer ce TOP des pires jeux pourtant devenus populaires. PuBG a littéralement défini le genre que tous les jeux ont essayé après lui : le Battle Royale. CoD, Battlefield,... toutes les licences ont copié ce titre, pourtant plein de bugs et de lacunes alarmantes.
Ce jeu avait deux énormes arguments à sa sortie. Tout d'abord, c'est un jeu Star Wars, licence ultra-populaire. Secondement, c'était une suite très attendue d'un premier jeu excellent.
Pourtant, une fois dans les mains des joueurs, c'est la douche froide : magnifique et fluide, son gameplay est répétitif, ses microtransactions ont été l'objet de milliers de plaintes en justice, et la partie SOLO est une vaste blague.
Pourtant, 10 millions de copies furent vendues en 4 mois. Aujourd'hui, plus de 15 millions de joueurs uniques l'auraient essayé !
Le titre de Nintendo arrivait sur Wii et DS en 2007, et les deux versions ont récolté des millions de dollars de recette. Pourtant, la création de Nintendo était objectivement mauvaise : des mini-jeux buggés et redondants, des règles complexes pour un gameplay infantilisant,...
Malgré cela, Mario & Sonic at the Olympic Games a gagné le titre du meilleur jeu sur Wii en 2007.
Cherchez les notes de la presse et des joueurs, et Diablo 3 s'en sort toujours plutôt bien. Pourtant, tous les joueurs ayant passé un minimum de temps dessus vous diront la même chose : ce DRM qui demande une connexion permanente est la pire chose jamais vue. Autre citation unanimement déclarée : "ça ne vaut vraiment pas Diablo 2".
Le studio s'était bien gardé d'en parler avant la sortie, ce qui a permis à Diablo III de devenir le jeu le plus précommandé sur Amazon. Rien que 6.3 millions de copies furent vendues en 1 semaine...
La mascotte de SEGA a apporté de bonnes surprises, distillées dans un flot de mauvais choix. L'un de ceux-ci est ce jeu pour "last-gen" XBOX 360 et PS3.
Pensé comme reboot de la série pour son 15ème anniversaire, il n'en fut rien : l'anticipation des fans a été récompensée par un titre à l'histoire décevante, aux contrôles nuls, à la caméra capricieuse et aux chargements exaspérants.
Environ 2 millions de copies vendues en quelques semaines seulement !
À partir du moment où un jeu aussi bon que "Most Wanted" existe dans une licence, celle-ci devrait s'arrêter ou alors vraiment se dépasser. Mais à peine 3 ans après l'excellente itération, EA propose ce "soft-reboot".
Quel coup manqué : l'intégration du "FMV", véritables cinématiques filmées avec de vrais acteurs, est complètement ratée, saccadée et de mauvaise qualité générale.
La partie conduite était correcte mais ne suffisait pas à rattraper ce FMV qui s'occupait de détruire le peu de scénario présent par des chargements longs et des explications impassables !
Arriver à créer une licence de 5 jeux différents est déjà un exploit. Mais la conclure avec un titre aussi mauvais que Tony Hawk 5 est encore plus beau ! La sortie du titre paraissait précipitée, tant ses bugs étaient nombreux et ses graphismes bien en deçà des autres jeux.
Le gameplay, les objectifs, la maniabilité, rien de tout ça n'a été apprécié des fans et Tony Hawk 5 est rapidement devenu le cadet que tout le monde déteste.
La raison : le deal entre le skateur Tony Hawk et Activision se terminait, et les développeurs voulaient vite faire un petit dernier.
La conclusion est tout de même positive puisque la licence entière aurait rapporté 1,5 milliard de dollars en tout et pour tout.
Si vous suiviez l'actu du jeu vidéo lors de la sortie de Fallout 76, vous avez vécu un grand moment d'anthologie. Le jeu était annoncé comme le grand Fallout, qui allait reprendre tous les codes de la licence et les améliorer. Surprise : ce n'était pas le cas.
Des 3 millions de joueurs à sa sortie, il n'en resterait aujourd'hui que 25.000 à 30.000.
L'avantage de sortir un jeu par an depuis plus de 15 ans, c'est que les épisodes ratés ne restent pas longtemps en tête d'affiche. CoD Ghost l'a bien compris, et au lieu de proposer un solo créatif, il a préféré amasser les millions de dollars des fans dans son multi répétitif.
Les jeux de la saga étaient habitués à avoir un vrai pan solo, mais Ghost a changé la donne en instaurant un méli mélo de scénarios clichés sur des cartes vites oubliées.
Ce n'est pas le scénario qui fait de Watch Dogs le jeu le plus mauvais mais populaire. Ce n'est pas non plus son gameplay franchement innovant, permettant de hacker un univers mi-GTA mi-System Shock.
C'est plutôt le rollercoaster d'émotions entre ses premiers trailers magnifiques et sa sortie décevante. Tandis qu'il fut nommé pour 80 récompenses lors de l'E3 2012 et 50 l'année suivante, les joueurs se sont vite rendus compte de la supercherie dès les premières minute de jeu. Les graphismes semblent avoir fait volte-face et les bugs sont nombreux.
Malgré qu'il soit le jeu vidéo le plus décevant mais populaire, il a tout de même lancé une licence dont le troisième jeu arrive en 2020.