Comment faire cette liste sans commencer par l'exemple le plus flagrant de ces dernières années ? GTA 5 nous a donné plusieurs personnages intéressants, d'autres... moins.
Amanda de Santa, la femme de Michael, ne fait que se plaindre. Sa doubleuse a volontairement choisi une voix nasale désagréable et a tout fait pour rendre son personnage horrible et désobligeante.
Elle trompe son mari, l'utilise pour son argent et abuse tout le monde verbalement. Elle oublie un peu rapidement son passé de strip-teaseuse qui est sortie d'une triste vie uniquement grâce à Michael et son argent...
Autre personnage qui nous reste bien en travers, c'est Tonya Wiggins, qui n'a qu'un seul but dans le dernier GTA : nous embêter. Sa seule utilité est de nous donner quelques missions parmi les pires de tout le jeu, tant elles sont lentes et répétitives.
Ensuite, cette junkie est à 2 doigts d'agresser sexuellement Franklin lorsqu'il conduit, faisant de nombreuses et répugnantes avances malgré le refus catégorique de notre personnage.
Enfin, Tonya termine son 'arc' en critiquant Franklin qui s'est sorti du quartier où il a grandi. Bien que les moyens utilisés (violence, braquages, vols) ne soient pas jolis-jolis, ils justifiaient la finalité pour Franklin. Mais Tonya, jalouse et aigrie, lui dit qu'il devrait avoir honte d'avoir réussi... Allez, à la poubelle.
Tous les joueurs ne se souviendront pas clairement de ce personnage, mais qu'est-ce qu'il fut pénible !
Ses missions étaient longues, répétitives et peu intéressantes, tandis que le protagoniste lui-même était tout l'inverse. Toujours survolté à coup de stéroïdes et d'autres drogues, Bruccie Kibbutz n'a pas laissé que de bons moments derrière lui.
Rockstar a volontairement fait de lui une caricature sans humour, et il suffit de passer quelques minutes dans son arc narratif pour le comprendre. Il a sa place au classement des pires personnages de la licence Grand Theft Auto.
Dans la famille Kibbutz, le frère aîné est encore pire.
Introduit dans The Ballad of Gay Tony, ce personnage absolument détestable passe son temps à rabaisser les autres (et particulièrement son petit frère) et à se considérer comme le mâle alpha ultime.
Pour régler une dette à son égard, Luis devra réaliser quelques missions pour Mori. La plus grosse difficulté de celles-ci ? Arriver à le supporter.
Sa première apparition dans GTA 4 et son DLC The Lost and the Damned, cette demoiselle est un nid à problèmes. Déjà, elle ne fait que tromper notre personnage, Johnny Klebitz, et cherche à nous faire plonger dans la drogue.
Alors qu'elle disparaît plus ou moins à la fin de l'histoire, elle revient en force dans GTA 5 où l'on découvre qu'elle s'est remise avec Johnny, ce qui est une très mauvaise chose...
Ce dernier est en effet tombé dans l'addiction et n'est plus le bonhomme courageux et gaillard que l'on incarnait, mais un lâche faible et agressif.
Tout ça mène à la mort de Johnny, notre ancien personnage de GTA 4, et nombreux sont les fans qui accusaient Ashley. Elle meurt aussi dans GTA 5, d'une overdose ou si le joueur décide de la tuer. Un choix que beaucoup ont fait.
Premier boss de Toni Cipriani dans le jeu, le capo de la famille Leone passe son temps à traiter le protagoniste comme un chien.
Palpable dans chaque scène, la détestation entre les deux personnages culminera lorsque Vincenzo enverra Toni dans une embuscade pour récupérer une voiture surveillée par la police.
Après cette trahison, une tentative de réconciliation aura lieu... mais le guet-apens était beaucoup trop prévisible pour surprendre. Un personnage bête et méchant.
La toute première interaction avec Zero dans GTA San Andreas, c'est lorsque le joueur le trouve pendu par son slip dans un placard.
Ce qui aurait pu lancer une histoire bien fun s'est vite transformée en cauchemar à cause du gameplay de ses missions : à travers plein de courses de voitures télécommandées, d'hélicoptères miniatures et autres gadgets, Zero ne fait que donner des quêtes plus embêtantes les unes que les autres.
C'est aussi la faute à Rockstar qui nous a donné une jouabilité un peu compliquée lors de ces missions. Petite anecdote : l'acteur qui double le personnage a avoué qu'il détestait son rôle !
Autant d'éléments qui nous convainquent de mettre Zero dans cette liste.
Sa place dans ce top n'est pas méritée à 100 % puisque Kent Paul ne cause aucun tort à notre personnage dans GTA VC. Toutefois, parce qu'il est mythomane, agressif, menteur, hypocrite et accro à 1000 drogues, ce anti-héros prend sa place ici.
Pas détesté plus que ça, Kent Paul balance tout de même du mauvais côté et peu de joueurs ont en gardé un bon souvenir...
Elle a deux points positifs : elle est jolie (et le sait), et elle a une sacrée longévité. Catalina est en effet l'un des rares personnages à apparaître dans plusieurs jeux GTA, mais à chaque fois... c'est en mal !
Complètement hystérique et bipolaire, elle aime faire du mal et jouer avec les gens. Après que CJ la quitte dans San Andreas, elle prend plaisir à l'appeler tout en étant au lit avec son rival...
Mais plus tard, elle tente de trahir plusieurs de ses amis et ex, thématique récurrente avec ce qu'elle faisait dans GTA 3, où toute sa présence était faite pour ennuyer le jouer.
Bref, l'un des pires personnages de tous les GTA. C'est peu dire que sa mort nous a fait du bien !
Que de souvenirs avec Michelle... Tous ces appels téléphoniques se concluant toujours de la même façon, avec Niko répétant "Michelle ? Michelle ? Please Michelle ?"
L'une des demoiselles qu'il est possible de charmer dans GTA 4, Michelle est en fait dans la police et ne s'intéresse pas à vous par romantisme mais parce que vous êtes un immigré de l'Est potentiellement dangereux.
Et celle-ci ne se prive pas pour vous le signaler, surtout lorsque Niko s'éprend un peu d'elle : Karen, de son vrai nom, ne pourrait jamais sortir avec un "rustre" comme lui. Aïe.
Actrice pornographique "michtonneuse" à souhait, elle n'hésite pas à coucher avec tout le monde pour essayer de gravir l'échelle sociale... ou gagner un peu de sous.
Avec un accent et une voix désagréable au possible, elle apparaît comme un personnage caricatural et qui n'apporte pas grand chose à l'histoire si ce n'est quelqu'un que tous les joueurs détesteront. Idéal pour cette liste, donc !
Vous n'avez probablement aucun souvenir de ce personnage secondaire, et on comprend pourquoi.
Introduit tard dans le jeu pour participer à un braquage de banque, Hilary n'accepte de rejoindre la clique à une seule condition : Tommy doit prouver sa supériorité en le battant pendant une course.
Déjà frustrante à cause du traffic automobile qui peut envoyer votre véhicule dans le décor, cette mission ne servira absolument à rien puisque Hilary n'aura aucune incidence sur le déroulement du braquage.
Pourtant embauché comme chauffeur, c'est Tommy qui conduira le groupe jusqu'à la banque. Ensuite, il sera tué instantanément par les forces de l'ordre. Vous avez dit personnage inutile ?
Parmi toute la clique d'allumés qui roulent aux côtés de Johnny Klebitz, le plus insupportable d'entre eux est sans aucun doute le secrétaire du gang des Lost.
Non content d'insulter régulièrement notre personnage avec des remarques antisémites, Brian est un lèche-bottes de première catégorie, toujours prêt à défendre les positions irrationnelles de son leader Billy Grey.
Lâche et pleurnichard, il est le premier visage auquel on pense au moment d'évoquer un mauvais souvenir de The Lost and Damned.
Partenaire de Frank Tenpenny au sein du C.R.A.S.H., Eddie Pulaski arrive à être largement pire.
Profondément raciste, il insulte et menace régulièrement CJ tout au long du jeu, tout en se cachant derrière son supérieur. Sa fin est aussi misérable que sa vie, puisqu'il n'hésitera pas, dans un dernier souffle, à manquer de respect à Kendl, la sœur de Carl.
Amant de Tony Prince au début du jeu, Evan fait tout son possible pour garder le personnage central de The Ballad of Gay Tony dans un état déplorable, en le gavant de pilules.
Extrêmement condescendant avec Luis, il connaîtra une fin misérable, tué en partageant son malheur sur les réseaux sociaux.
Si une portion de la communauté n'a pas vraiment aimé le scénario proposé par GTA V, qui promettait aux trois protagonistes de se lancer tête baissée dans la quête effrénée du dollar vert, sa rancœur peut être dirigée en grande partie contre Steve Haines.
Tout au long du jeu, l'agent du FIB n'aura de cesse d'empêcher Michael, Trevor et Franklin de s'enrichir en dirigeant leurs compétences pour son propre compte, dans le cadre d'une guerre entre agences gouvernementales loin d'être passionnante.
Totalement imbu de sa personne et d'une cruauté sans faille, Steve Haines a aussi une grande part de responsabilité dans l'une des séquences les plus traumatisantes de l'histoire de la série. Une véritable enflure.
Comment peut-on autant haïr un personnage que l'on ne voit jamais ? Avec Ma Cipriani, Rockstar délivre LA réponse.
Constamment dénigré par sa mère, qui lui crie dessus à chacune de ses "apparitions" à l'écran, Toni échoue à chaque fois qu'il essaie de rentrer dans ses bonnes grâces. Remporter une course de voitures devant le champion local ? Pas suffisant. Mettre en lumière les pratiques perverses d'un rival qu'elle admire ? Aucun effet.
Absolument odieuse, elle ira jusqu'à engager des tueurs à gage pour mettre fin aux jours de son fils. Et ils vous poursuivront pendant une bonne partie du jeu !
Lâche et sans talent, si ce n'est celui de voler les chansons des autres, OG Loc est l'illustration parfaite de l'escroquerie.
Aidé par CJ pour se donner une stature de gangster et accéder à la célébrité, Jeffrey — de son vrai nom — n'aura aucune reconnaissance pour celui qui lui aura permis de faire carrière.
Pour ne rien arranger, c'est aussi et surtout un chanteur absolument nullissime, qui nous fera vriller les tympans plus d'une fois.
Accro aux jeux vidéo, consommateur de drogues et profondément irrespectueux envers son père, Jimmy est la caricature même du jeune adulte pourri gâté qui vit au crochet de ses parents.
Au cours d'une mission, il n'hésitera pas à aller jusqu'à droguer son père et à subtiliser sa voiture. Et pourtant, après Michael, c'est peut-être le plus supportable des membres de la famille De Santa. C'est dire !
Prête à tout pour devenir célèbre, Tracey est une adolescente superficielle qui se laisse régulièrement influencer par des personnalités du show-biz à Los Santos. Dans une mémorable prestation à Fame or Shame, elle n'hésite pas à prendre une série de poses lascives et suggestives... devant son propre père.
Autre raison qui explique notre profond désamour du personnage : sa voix nous fait saigner des oreilles.