Manga et live action font souvent mauvais ménage... Bien qu'il y ait des exceptions, comme la série One Piece diffusée sur Netflix ou encore Kenshin le vagabond (2012), les fans se remémorent plus facilement les échecs de ces types d'adaptations plutôt que les réussites. C'est plutôt logique, tant le nombre de live actions médiocres est supérieur à ceux qui retranscrivent fidèlement l'œuvre originale.
La difficulté d'adapter des mangas en live action
Adapter un manga en live-action est toujours un pari très risqué. Les fans sont généralement extrêmement attachés à l'œuvre originale et ne font aucun cadeau. L'univers des animes est difficilement adaptable, surtout lorsqu'il s'agit d'une histoire fantastique comme Dragon Ball. Mais la tâche n'est pas impossible et Netflix a su nous le prouver avec One Piece.
Le célèbre manga d'Eiichiro Oda va prochainement connaître sa seconde saison sur la plateforme de streaming.Après un premier exercice admirablement réussi et bien reçu par la critique, Luffy - Zoro - Nami - Sanji et Usopp seront de retour sur petit écran en 2025 selon cet acteur du live action.
Le top 10 des pires adaptations de manga en live action
Beaucoup (trop) de mangas ont déjà été saccagés. C'est évidemment le cas de Dragon Ball avec Dragon Ball Evolution, qui est unanimement considéré comme un navet, et le mot est faible. L'Attaque des Titans ou Death Note ont aussi eu leur ignominie. La France se met également aux adaptations, avec par exemple Nicky Larson et le Parfum de Cupidon du réalisateur Philippe Lacheau, mais, idem que pour les précédents, on peut difficilement parler d'une réussite, malgré son bon score au box-office. Voici les 10 pires adaptation de manga en live action :
- 10. Cowboy Bepop (2021)
- 9. Old Boy (2013)
- 8. Gost In The Shell
- 7. Nicky Larson et le Parfum de Cupidon
- 6. Speed Racer
- 5. Les Chevaliers du Zodiaque
- 4. Full Metal Alchemist
- 3. L'attaque des Titans
- 2. Death Note (2017)
- 1. Dragonball Evolution
On ne vous les recommande vraiment pas, à moins d'aimer souffrir en voyant ses œuvres préférées être détruites.