
JRPG classique dans sa structure. L’histoire principale fait déjà 40h, et les contenus annexes (quêtes, arènes, exploration) ajoutent une trentaine d’heures. La durée est cohérente avec les standards du genre, ni exagérée ni bâclée.

Un jeu à part, signé Hideo Kojima, dont la suite ne devrait pas tarder à arriver sur PS5. Death Stranding ne t’envoie pas sauver le monde à coups d’épée, mais le reconnecter colis par colis, dans un monde post-apocalyptique aussi sublime que désert. Sa durée de vie vient de son rythme lent, de ses livraisons longues, et des nombreuses missions annexes qui renforcent cette étrange sensation d’isolement. Compte environ 60 heures pour boucler l’aventure principale avec pas mal de contenu secondaire. Et si tu veux tout reconstruire et optimiser chaque zone, tu peux largement doubler la mise.

Le postulat est original, l’ambiance unique. Mais la technique est datée, le rythme inégal, et le système de combat pas toujours clair. À réserver aux curieux de JRPG alternatifs, pas aux novices du genre.

Structure claire : missions principales, secondaires, collectibles. Ce n’est pas un open world vide, mais le contenu est très balisé. Tu peux aller droit au but ou tout explorer, mais dans les deux cas, c’est calibré pour une expérience longue, mais accessible.

Il a fallu attendre deux ans pour que le jeu atteigne le niveau promis. Le scénario principal est plutôt court, mais les quêtes secondaires sont nombreuses, longues, et souvent très narratives. Phantom Liberty ajoute une dizaine d’heures bien denses. Si tu vises les fins alternatives et les arcs secondaires, tu frôles les 100h de jeu.

Un bijou de narration interactive, mais pas accessible à tous. Très dense, parfois trop. Et encore, on ne parle même pas de la rejouabilité et des 16000 fins possibles… Les mécaniques de D&D peuvent rebuter si t’es pas branché tour par tour ou feuilles de perso. Cela dit, si tu cherches de la profondeur, c’est du caviar.

Le voilà, le roi incontesté. Un incontournable du JRPG, oui, mais pas pour tout le monde. Ultra stylisé, très bavard, et basé sur une boucle de gameplay scolaire répétitive. Si t’accroches au concept, t’es parti pour 120h solides. Et sans DLC, c’est clairement le plus long du classement en solo pur.

Un jeu qui ne manque pas de contenu, mais qui peut s’essouffler. Valhalla propose une carte gigantesque avec des quêtes, activités, territoires à conquérir. Entre les tâches répétitives et une narration pas toujours inspirée, on sent la formule Ubisoft tirer en longueur. Les fans de lore viking y trouveront leur compte, les autres... peut-être moins.

Le jeu ne te donne aucun rythme imposé. Si tu veux aller à l’essentiel, tu peux. Mais si tu cherches les secrets, les donjons cachés, les boss optionnels : tu doubles la mise. La durée dépend directement de ton envie d’explorer.

Un monde ouvert généreux avec des quêtes secondaires scénarisées comme des histoires principales, du moins, dans l'ensemble. Les extensions Hearts of Stone et Blood and Wine ajoutent à elles seules plus de 30h. Nul doute que The Witcher 4 suivra le même chemin.