Sony opte pour une stratégie interne "agressive"
Il y a peu, Sony a annoncé les résultats financiers de l'année précédente. Force est de constater que la PS5, dont le design pourrait changer, a eu des records de ventes sans précédent. On ne peut donc pas dire que le Japonais a perdu son temps en 2020. Au total, le géant a vendu près de 7,8 millions de PS5 en fin d'année. Avec de tels chiffres, il n'est pas étonnant que Sony veuille mettre le prix dans des jeux first-party. C'est-à-dire, des jeux Aussi, le géant veut nouer plus de partenariats avec ses collaborateurs externes.
Hiroki Totoki, directeur financier de Sony a dit que "nous avons l'intention de gonfler les rangs du personnel de développement et augmenter les autres coûts internes de 20 milliards de yens (183 millions de dollars) d'année en année [...] Pour améliorer notre catalogue, nous comptons continuer d'investir dans les partenariats avec des studios externes, en plus d'investissements agressifs dans nos studios internes". Une bonne nouvelle pour les joueurs qui reprochaient l'absence d'un catalogue de jeux fournis.
PS5 : Sony veut mettre le prix pour produire une offre first-party de qualité
Ceci dit, des exclus, ça coûte cher, on le sait. Mais la firme s'engage à mettre le prix pour fournir des exclusivités de premier choix et de qualité. L'offre va donc tendre à s'étoffer, pour le grand plaisir des joueurs. D'autant que l'on sait que nombre d'entre vous estiment qu'il ne vaut pas la peine de se ruiner pour une PS5, alors que l'offre n'est pas folichonne, malgré quelques bonnes surprises comme Returnal. On sait aussi que pléthore de jeux arriveront cette année ou en 2022, comme Final Fantasy ou bien encore Ratchet & Clank. Reste à voir ce que Sony prévoit dans ses tuyaux. Affaire à suivre...