Bronze, la zone du moindre mal
Selon ce joueur, passer le bronze ne requiert que des connaissances de base. Connaître les cartes du jeu, savoir tirer tout en se déplaçant, connaître à peu près les compétences des héros font partie des prérequis pour passer le bronze. Une fois ça en main, vous pouvez jouer n'importe quel héros, et le bronze est à vous.
Silver, la zone de non-droit
Au cours de son périple, il a concédé que la division silver fut celle où il a rencontré le plus de difficultés. Il faut mobiliser un peu plus d'énergie qu'en bronze, savoir se remettre en question et éviter de tilter. Améliorer sa visée est essentiel à ce niveau. Au niveau des picks, l'un de ses plus gros conseil est Pharah. En effet dans cette division personne ne sait viser une cible aérienne, alors l’Égyptienne est destructrice ! Roadhog fait également un massacre, puisque les joueurs ne savent pas esquiver un hook. Et enfin, Ana est toute trouvée si jamais vous voulez aller du côté support. Ce sera rarement par le nanoboost que vous ferez la différence (à cause de vos mates), mais vos grenades et votre dart seront dévastateurs !
Gold, la zone purgatoire
Arrivé au gold, le plus dur était fait pour lui. A ce niveau, les joueurs connaissent déjà un peu plus la meta, savent à peu près viser et surtout pratiquent énormément le counterpick. N'hésitez pas à utiliser ça à votre avantage ! En effet selon lui beaucoup trop de golds pensent qu'un Soldat 76 suffit pour contrer Pharah. Si c'est une bonne Pharah, ce ne sera pas le cas. Un autre pick est ultra conseillé : Zarya. Les joueurs étant plus éveillés que dans les divisions précédentes, elle pourra faire la différence avec son ultimate ! Autre secret du gold : les shotcalls. La communication en général est ce qui ferait défaut aux golds, alors veillez à palier à cela ! Une chose est sûre cependant, en récupérant un compte bronze et en le faisant monter aussi haut en à peine un jour, ce joueur a prouvé qu'il faut arrêter de se plaindre de ses mates !