Sortie le 3 mars 2017, la Nintendo Switch constitue l'un des plus grands succès de l'histoire du jeu vidéo. Adaptée à la fois au jeu portable et au jeu traditionnel sur téléviseur, la machine hybride est non seulement l'une des consoles les plus vendues de tous les temps, mais aussi un monstre de longévité dans l'histoire moderne de Nintendo.
La Nintendo Switch 2 bientôt présentée au public ?
Mais après 7 longues années d'existence, et un exercice 2023 riche en titres d'envergure — The Legend of Zelda : Tears of the Kingdom et Super Mario Bros. Wonder, pour ne citer que les plus grosses cartouches — force est de constater que la Switch vit très certainement sa dernière année pleine en 2024. À l'horizon se profile son successeur, que tout le monde appelle Nintendo Switch 2.
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Dans les cartons depuis plusieurs mois, la prochaine machine de Nintendo a été montrée — en mode prototype — à des développeurs dans les coulisses de la GamesCom, le salon européen du jeu vidéo qui s'est déroulé à Cologne (Allemagne) du 23 au 27 août dernier. Avec la distribution des kits de développement dans les studios, il ne reste plus qu'à attendre l'officialisation de la console par Nintendo.
La date de sortie dévoilée par erreur ?
Qui dit officialisation, dit date de sortie. Or, une fuite (ou plutôt une bourde) a peut-être été commise dans le cadre d'un autre salon, le prestigieux CES 2024 de Las Vegas (États-Unis). Dans son communiqué de presse annonçant l'arrivée d'un successeur au GameShark alimenté par l'intelligence artificielle, le fabricant Altec Lansing a cru bon d'écrire la phrase suivante :
Le lancement officiel est prévu pour coïncider avec la Nintendo Switch 2 en septembre 2024.
Dans un message adressé au site Digital Trends, qui est le premier à avoir remarqué cette phrase étonnante, Altec Lansing a déclaré que Nintendo n'avait pas encore choisi un mois spécifique pour la sortie de la Switch 2, mais que la période de l'automne 2024 était plus que probable. Quelques heures plus tard, l'entreprise prenait davantage de précautions en estimant que rien n'avait encore été officialisé.
Une désescalade progressive qui n'empêche pas de se poser des questions légitimes.
