GTA 6 est attendu comme le loup blanc depuis plus d’une décennie. Mais voilà, un événement de taille sème le trouble : le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche. De quoi nourrir la psychose d’un report du jeu. Spoiler : c’est du vent.
La peur de l’effet Trump, un vieux fantasme
En 2018, Dan Houser, alors boss de Rockstar, balançait à GQ qu’il était « content » de ne pas sortir GTA 6 sous Trump, jugeant cette ère « au-delà de la satire ». Suffisant pour que les théoriciens du complot ressuscitent cette phrase à chaque élection. Mais soyons clairs : Dan Houser a quitté le navire en 2020. Sa plume ne dicte plus les décisions de Rockstar.
Les paranoïaques du retard peuvent souffler. Take-Two Interactive, maison-mère de Rockstar, a martelé lors de son dernier point financier que GTA 6 était toujours prévu pour l’automne 2025. Le jeu est en phase terminale de développement.
À ce stade, modifier la moindre ligne du script pour coller à la politique relèverait de la pure folie. Conclusion ? Aucun risque que Trump ou ses lubies sur les jeux violents ne freinent la sortie de GTA 6. S’il y a un report, c’est pour la qualité, un point c’est tout.
Septembre ou novembre : le créneau gagnant
Faut être réaliste. Rockstar aime les jeux polis comme un diamant. Si un report devait arriver, ce serait pour fignoler les détails, pas pour plaire ou défier un président. On l’a vu avec Red Dead Redemption 2: un chef-d’œuvre retardé pour mieux briller. Et pour GTA 6, certaines rumeurs parlaient déjà d’une sortie initiale début 2025, repoussée à l’automne pour peaufiner le bébé.
Historiquement, Rockstar aime la rentrée. GTA V en septembre 2013, Red Dead 2 en octobre 2018 : jackpot à chaque fois. Pourquoi changer une recette qui marche ? Et si vous voulez une date précise, gardez un œil sur le prochain trailer. Avec un peu de chance, il sortira avant la fin de l’année et mettra fin aux spéculations.