Dans cette mission donnée par Martin Madrazo, vous alternez à la fois entre Michael et Trevor. L'objectif ? Descendre un jet en plein vol, muni d'un fusil sniper. Suivre la trajectoire du jet endommagé en moto-cross, en évitant tous les pièges de l'environnement et de la circulation. Récupérer un document sensible dans les décombres.
Et kidnapper la femme du boss de l'organisation criminelle. Ah non, ça ce n'était pas prévu.
Dans cette mission, vous avez la possibilité de prendre le contrôle de la voiture du leader d'une famille rivale (Paulie Sindacco) pour éliminer les membres d'une autre famille rivale (les Forellis).
Le jeu passe alors en vue subjective, et vous avez 5 minutes pour réaliser la basse besogne. Une mission aussi créative que jouissive à compléter !
Si vous avez choisi la voie de la Vengeance à la fin de GTA IV, vous avez la possibilité de mettre un terme à l'existence de Dimitri Rascalov. Et quoi de plus poétique que d'exécuter ce châtiment sur le Platypus, l'immense cargo qui a permis à Niko d'arriver à Liberty City ?
Longue et intense, la fusillade emmène le joueur de la proue à la poupe du navire.
Voici sans aucun doute la mission la plus chargée émotionnellement de GTA V. Pour la première fois, Trevor voit clairement à travers les mensonges de Michael, et entame un voyage jusqu'à Ludendorff — le lieu du braquage mortel de l'intro — pour apprendre ce qui est vraiment arrivé à Brad.
Si vous choisissez de suivre Michael, vous aurez droit à une séquence mémorable en voiture. La confrontation entre les deux amis vire au cauchemar complet quand la Triade chinoise débarque dans le cimetière pour séparer les "amoureux".
Donnée par Elizabeta Torres, cette mission prend place dans un hôpital abandonné, dans lequel il faudra s'introduire avant de devoir en réchapper. Ingénieux, le level-design de cet endroit à plusieurs étages offre de nombreuses possibilités d'approche au joueur.
Enfin, si cette mission est dans le classement, c'est aussi pour son twist final.
Cette mission unique en son genre permet à la fois de mettre fin aux jours de Vincenzo Cilli, l'un des personnages les plus insupportables de toute la licence, mais aussi de vivre un véritable moment de terreur, puisque le joueur se retrouve poursuivi par une horde de mafiosos armés de tronçonneuses.
Un seul faux pas, et c'est la mort...
Cette mission en apparence sans difficulté donne tout son sens à l'histoire du jeu. Enfin confronté à Darko Brevic, l'homme qui a trahi son unité et ruiné sa vie, Niko a un dilemme : laisser en vie l'objet de sa vengeance, qui est devenu un homme brisé, ou bien exécuter la sentence au nom des disparus.
Le choix n'offre en réalité qu'une seule conclusion : l'absence de satisfaction. Un moment puissant.
Cette mission géniale consiste à effrayer Johnny Sindacco, l'une des principales figures de la mafia italienne à Las Venturas. Pour la réussir, vous n'avez pas le choix : il faut rouler à toute berzingue, à contre-sens, frôler les murs et les autres véhicules... Un régal.
Dans la même veine que Fender Ketchup, cette mission avec l'hilarant groupe de rock Love Fist vous donne un seul objectif : ne surtout pas ralentir ou vous arrêter, au risque d'exploser. Votre dextérité au volant sera mise à rude épreuve, mais le shot d'adrénaline vaut sacrément le coup.
La mission finale de la première partie de Vice City change tout, puisqu'elle permet à la fois de se débarrasser d'un antagoniste majeur (le très susceptible Ricardo Diaz) mais aussi de prendre possession de son manoir.
Qui n'a jamais rêvé de pouvoir s'introduire dans la fameuse Zone 51... ou Zone 69 ? GTA San Andreas réalise vos désirs les plus fous, dans une mission déjantée, qui commence par une épatante phase d'infiltration dans la nuit noire du désert, continue en fusillade à l'intérieur du complexe, et termine par un vol en jetpack. Rien que ça !
Le lever du soleil en survolant le canyon est phénoménal.
Premier véritable moment fort de GTA V (en dehors de l'introduction), ce casse permet d'entrevoir toutes les possibilités offertes par le switch de personnages.
La mission nous offre une impressionnante séquence de fuite à travers les rues, les tunnels, et enfin — clou du spectacle — dans le canal asséché de Los Santos.
Après avoir passé tout le jeu à travailler pour les organisations criminelles de Liberty City, la dernière mission de GTA III vous donne enfin l'occasion de vous venger de la trahison de Catalina.
En 7 minutes (la mission est chronométrée), vous avez droit à un véritable feu d'artifice : survivre à l'embuscade initiale, foncer jusqu'au barrage, ouvrir l'accès à l'héliport en éliminant tous les membres du Cartel colombien, abattre l'hélicoptère de Catalina, et enfin récupérer l'argent.
Voici très probablement le braquage de banque le plus absurde de la série, avec une séquence d'action frénétique qui impliquera même l'armée. Armés jusqu'aux dents, Michael et Trevor se font un malin plaisir à dévaster la paisible ville de Paleto Bay, avant que Franklin ne vienne leur sauver les miches à l'aide d'un... bulldozer, poursuivi par des tanks.
On en sourit encore.
Si cette mission est autant rentrée dans l'esprit des joueurs, c'est bien pour cette épique course-poursuite à moto où Big Smoke joue le rôle du pilote, et CJ celui du nettoyeur.
La séquence est explosive, et beaucoup la considèrent — même aujourd'hui — comme la meilleure course-poursuite de l'histoire de la série.
La mission la plus attendue de tout le jeu, et qui met ENFIN à contribution l'entente et les capacités des trois personnages jouables (Michael, Franklin, Trevor). Fusillade, mini-jeu, course-poursuite... peu importe votre approche du braquage de l'Union Depository, la mission sait suffisamment se renouveler pour être toujours intéressante.
Au bout, un pactole hallucinant : 201 millions de dollars.
La plus éprouvante des missions finales de la série est aussi l'une des plus iconiques. Il faut d'abord s'introduire dans la forteresse de Big Smoke en subtilisant un tank à eau, puis se frayer un chemin à travers les quatre étages du complexe, éliminer le traître dans un face-à-face tendu, redescendre du bâtiment en feu, secourir Sweet dans une course-poursuite haletante, et enfin canarder tous les poursuivants qui vous barrent la route.
Rien qu'à énumérer tout ça, nous sommes essoufflés.
Hommage à peine dissimulé à Scarface, la dernière mission de Vice City offre un retournement de situation avec la trahison de Lance Vance, qui se range aux côtés de Sonny Forelli.
Après avoir pourchassé le traître jusqu'à l'héliport de la Villa Vercetti, Tommy l'élimine et revient protéger son butin durement gagné au cours du jeu. S'ensuit alors un combat final intense contre Forelli.
Avec au bout, la victoire.
Épisode final d'une série de séquences épiques, cette dernière mission à Las Venturas offre un tas de situations variées (lumières qui s'éteignent, puis qui se rallument, course-poursuite sur les toits, fuite en hélicoptère) et nous permet d'obtenir 100 000 $, la tenue de croupier et l'ire de Salvatore Leone.
Cerise sur le gâteau : la mission se termine avec CJ qui corrige Zero.
Si nous avons consacré cette mission comme la meilleure de la saga GTA, c'est parce qu'il s'agit sans nul doute de la plus intense. Dans un hommage évident au classique du cinéma Heat, Niko et les frères McReary doivent faire face aux forces spéciales de la police de Liberty City, d'abord dans les ruelles de Chinatown puis dans le métro.
Un gunfight exceptionnel, avec un beau butin à la clé : 250 000 dollars.