Assassin's Creed premier du nom, le meilleur de la saga ?
Le premier épisode d'une licence dispose toujours d'une place particulière dans le cœur des fans. Lorsqu'une saga s'étend sur plus d'une dizaine d'années et d'épisodes, la nostalgie semble parfois plus forte que le reste, de plus en plus de joueurs considérant alors l'opus inaugural comme le sommet d'une licence.
Assassin's Creed en est un bon exemple. Beaucoup de fans estiment que le premier épisode surpasse les derniers opus que sont Origins, Odyssey et Valhalla. Le jeu si cher à leur cœur vient d'ailleurs de révéler son tout dernier un secret.
Assassin's Creed 1 vous faisait chevaucher un humain
Grâce à Charles Randall, qui travaillait sur l'intelligence artificielle du premier Assassin's Creed, nous apprenons le dernier secret du jeu.
Le cheval dans Assassin's Creed 1 n’était qu’un squelette humain tordu et détraqué, car notre chaîne d’outils ne fonctionnait qu’avec les bipèdes dans 3DS Max (ndlr : un logiciel de modélisation et d'animation 3D). Bravo aux incroyables animateurs et techniciens qui ont réussi à faire ressembler ce gars à un cheval ! »
Oui, les développeurs doivent parfois ruser pour surmonter les contraintes techniques. Rappelez-vous que le brouillard du premier Silent Hill n'avait pas lieu d'être. Konami l'a intégré pour ne pas avoir à afficher les décors et objets au loin et en demander trop à la PS1.
Dans un autre tweet, Charles Randall révèle que le bras manquant de Malik est en réalité... un modèle de bras replié à l'intérieur du biceps. Nous n'avons peut-être pas fini d'apprendre d'étranges secrets sur de glorieux titres du passé.
In AC1 there was always a new way of getting your character through the level boundaries, allowing you access to places you shouldn't go.
— Charles Randall (@charlesrandall) June 23, 2022
I got to fix it by deploying my theoretical ultimate fix: Kill the player.
So if you ever died near a boundary wall for no reason? All me.
