C'est l'évènement de l'année 2024 : les Jeux Olympiques de Paris. Les médailles tombent pour nos athlètes français et la cérémonie d'ouverture du 26 juillet a ébloui le monde. Cette dernière a présenté de nombreux tableaux en l'honneur de la culture française. Tout au long de l'évènement, les spectateurs du monde entier ont pu suivre un porteur de la flamme masqué et capuché rappelant forcément un assassin sorti de la licence culte de chez Ubisoft. Certains fans réclament même l'arrivée du costume dans un des jeux.
Du changement pour Assassin's Creed Unity ?
La cérémonie d'ouverture des Jeux Olympiques de Paris 2024 a réservé une surprise aux fans de la franchise Assassin's Creed : un personnage encapuchonné a traversé les toits de Paris en freerun et en parkour, tout en portant une torche olympique. Ce porteur de torche présentait une ressemblance frappante avec Arno, le protagoniste d'Assassin's Creed Unity, ce qui a incité les fans à demander à Ubisoft d'intégrer cette tenue spécifique au jeu de 2014.
Cette demande semble réalisable. Il est probable qu'Ubisoft ait été au courant, voire directement impliqué, dans ce clin d'œil à Assassin's Creed Unity lors des Jeux olympiques de Paris 2024. Le compte Twitter officiel d'Ubisoft avait d'ailleurs suggéré aux fans de "garder un œil sur les toits de Paris" le jour de l'événement. De plus, le siège social d'Ubisoft étant en France, une collaboration entre la société et les organisateurs des Jeux Olympiques paraît naturelle.
Ubisoft et Paris : une relation plus solide que jamais
Avec un jeu comme Assassin's Creed, nombreux sont les fans à avoir attendu un épisode se déroulant dans la ville de Paris. Alors lorsqu'en 2014, Unity est annoncé, l'engouement est plus fort que jamais. On y incarne Arno et l'éditeur français a choisi l'époque de la Révolution française pour plonger les joueurs.
En 2019, lors de l'incendie qui a touché Notre-Dame de Paris, Ubisoft a fait le choix de donner 500 000 euros pour la reconstruction de l'édifice. Paris a donc une place importante dans la tête des équipes de l'éditeur, peut-être qu'un retour à Paris est possible dans les années à venir.