Les habitués de la série le savent sûrement : le massacre de populations civiles est sévèrement puni dans cet immense simulateur/machine à remonter le temps qu'est l'Animus. Cette décision est justifiée par un artifice narratif acceptable : tuer des innocents par paquets de douze risque de trop affecter le cours de l'histoire. Votre personnage se trouvait donc "désynchronisé" après avoir tué deux ou trois badauds qui passaient par là.
Assassin's Creed Odyssey va marquer un tournant dans la saga en disant adieu à ce système en faveur d'une mécanique de réputation similaire à ce qu'on peut trouver dans les GTA. Une jauge graduée en 5 segments se remplira en fonction de la gravité de vos actions, et des mercenaires de plus en plus corsés se lanceront à votre poursuite à chaque cran. Voilà une façon sympathique de représenter la violence civile de la Guerre du Péloponnèse !
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